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Photo du rédacteurLe Chat Mystique

Les 3 petites cochonnes

Dernière mise à jour : 12 déc. 2020



Il était une fois, trois petites cochonnes

Qui vivaient encore chez leur mère

Celle-ci ne roulait pas sur l'or

Et avait beau, être bien bonne

Elle finit, à grands coups de pieds au derrière

Par les foutre dehors


Trouvez-vous un logis

Où vous serez bien à l’abri

Et prenez garde à vous

Car ici, rode le grand méchant loup


La première petite cochonne croisa un paysan

Qui portait un fagot de paille

Elle lui proposa de lui acheter

Comme elle n'avait pas d'argent

Cette petite canaille

Lui proposa en échange, de le pomper


Une fois la transaction effectuée

Elle construisit sa cahute

Mais à la nuit tombée

Elle entendit le loup en rûte


La deuxième petite cochonne croisa un bûcheron

Et lui réclama quelque rondins

L'homme bien courtois, lui coupa le bois

En guise de payement, elle lui montra ses nichons

Le bonhomme eut aussitôt le gourdin

Bonne joueuse, elle le saisit et le branla


Une fois la giclée effectuée

Elle construisit sa cabane

Mais à la nuit tombée

Elle entendit le loup érotomane


La troisième petite cochonne croisa un ouvrier

En échange de ciment et de quelques briques

Elle se retourna et souleva son jupon

L'ouvrier, à la vue de ce fessier

Sortit aussitôt sa trique

Et lui rentra, bien au fond


Une fois la cochonne bien bourrée

Celle-ci construisit sa maison

Mais à la nuit tombée

Elle entendit le loup, violer un mouton


Devant la cahute en paille

Le loup vint se présenter

La cochonne refusant d'ouvrir son logis

Le loup en guise de représailles

Sortit son membre dur et gonflé

Et d'un violent coup de gland, la cahute fut anéantie


La cochonne pleine d’effroi

S'enfuit rejoindre sa sœur

Dans la cabane en bois

Pour échapper au loup plein d'ardeur


Devant la cabane

Le loup vint se présenter

Les cochonnes refusant d'ouvrir leurs logis

Le goupil monté comme un âne

Frappa de son baobab démesuré

Et la cabane en bois, fut anéantie


Les deux petites cochonnes, mortes de trouille

S’échappèrent, vers la maison de brique

Leurs culottes néanmoins trempées de mouille

A la vue, de cette énorme trique


Devant la maisonnette

Le loup vint se présenter

Décidant de ne plus perdre de temps

Il frappa d'un grand coup de quéquette

Mais la maison, ne fût même pas ébranlée

Le loup en colère, décida de changer de plan


Il grimpa sur le toit

Se faufila dans la cheminée

Et se crama les noix

Sur le feu, prestement allumé


Les bourses en flammes

Le loup s'enfuit en hurlant

Devant les cochonnes triomphantes

On entendit plus jamais parler de l’infâme

Les cochonnes prirent bien du bon temps

Et ainsi s’achève cette histoire branlante.

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