Il était une fois, trois petites cochonnes
Qui vivaient encore chez leur mère
Celle-ci ne roulait pas sur l'or
Et avait beau, être bien bonne
Elle finit, à grands coups de pieds au derrière
Par les foutre dehors
Trouvez-vous un logis
Où vous serez bien à l’abri
Et prenez garde à vous
Car ici, rode le grand méchant loup
La première petite cochonne croisa un paysan
Qui portait un fagot de paille
Elle lui proposa de lui acheter
Comme elle n'avait pas d'argent
Cette petite canaille
Lui proposa en échange, de le pomper
Une fois la transaction effectuée
Elle construisit sa cahute
Mais à la nuit tombée
Elle entendit le loup en rûte
La deuxième petite cochonne croisa un bûcheron
Et lui réclama quelque rondins
L'homme bien courtois, lui coupa le bois
En guise de payement, elle lui montra ses nichons
Le bonhomme eut aussitôt le gourdin
Bonne joueuse, elle le saisit et le branla
Une fois la giclée effectuée
Elle construisit sa cabane
Mais à la nuit tombée
Elle entendit le loup érotomane
La troisième petite cochonne croisa un ouvrier
En échange de ciment et de quelques briques
Elle se retourna et souleva son jupon
L'ouvrier, à la vue de ce fessier
Sortit aussitôt sa trique
Et lui rentra, bien au fond
Une fois la cochonne bien bourrée
Celle-ci construisit sa maison
Mais à la nuit tombée
Elle entendit le loup, violer un mouton
Devant la cahute en paille
Le loup vint se présenter
La cochonne refusant d'ouvrir son logis
Le loup en guise de représailles
Sortit son membre dur et gonflé
Et d'un violent coup de gland, la cahute fut anéantie
La cochonne pleine d’effroi
S'enfuit rejoindre sa sœur
Dans la cabane en bois
Pour échapper au loup plein d'ardeur
Devant la cabane
Le loup vint se présenter
Les cochonnes refusant d'ouvrir leurs logis
Le goupil monté comme un âne
Frappa de son baobab démesuré
Et la cabane en bois, fut anéantie
Les deux petites cochonnes, mortes de trouille
S’échappèrent, vers la maison de brique
Leurs culottes néanmoins trempées de mouille
A la vue, de cette énorme trique
Devant la maisonnette
Le loup vint se présenter
Décidant de ne plus perdre de temps
Il frappa d'un grand coup de quéquette
Mais la maison, ne fût même pas ébranlée
Le loup en colère, décida de changer de plan
Il grimpa sur le toit
Se faufila dans la cheminée
Et se crama les noix
Sur le feu, prestement allumé
Les bourses en flammes
Le loup s'enfuit en hurlant
Devant les cochonnes triomphantes
On entendit plus jamais parler de l’infâme
Les cochonnes prirent bien du bon temps
Et ainsi s’achève cette histoire branlante.
Comentários