Elle n'avait rien d'une gueuse
Cette jolie vendeuse
Bien au contraire
Elle avait tout pour plaire
Sous ses formes généreuses
Elle semblait délicieuse
Et il était clair
Qu'elle ne manquait pas d'air
Elle me dit s’appeler Sabine
En me conduisant aux cabines
J'étais venu pour un essayage
Mais ça sentait déjà l'effeuillage
Je lorgnai ouvertement sa poitrine
Elle fit mine de ne rien voir, la mutine
La vue de ce corsage
Fit naître entre mes jambes un orage
Pour ne rien arranger
Elle se mis à se trémousser
Rapidement, je sentis poindre mon canon
Une bosse énorme déforma mon pantalon
Gêné et voulant la cacher
Vers une cabine je me précipitai
Mais rapide comme un faucon
Elle était déjà sur mes talons
Elle entra sans un mot
Et tira le rideau
Me fixant droit dans les yeux
D'une main, elle libéra mon épieu
De l'autre elle me saisit les grelots
Tout en caressant l'oiseau
Faire cela en ce lieu
Semblait pour elle, être un jeu
Satisfaite du résultat
Ses lèvres, elle humecta
Elle se mis à genou
Et avala tout d'un coup
J'étais au nirvana
Entre les mains de cette diva
Elle alla jusqu'au bout
Me rendant, complètement fou
Ne pouvant plus tenir
Je me mis à gémir
Elle pris tout mon jus
Jusqu'à la dernière goutte, elle le bu
J'étais encore tremblant de plaisir
Quand elle me fit un grand sourire
Le temps de me remettre de cet entrevu
Elle avait disparu
Lorsque de la cabine, je sortis
Une femme me regarda ahurie
Je suis la vendeuse, Caroline
Il n'y a ici aucune Sabine
Je restais interdit
Quelle petite chipie !
Qui étais tu douce Sabine ?
Odieuse petite coquine.
Comments